Teenage lust for life
Yep!
Aujourd'hui, post luxure. Et du coup, tu comprends le titre (ou pas).*
Hier, j'ai donné de ma personne à une soirée (là, je te sens toute émoustillée, femelle en rut fébrile lecteuse) dans le cadre du boulot (tout de suite, c'est moins exitant, hein). Donc, présentation à laquelle j'ai rien pané, mais surtout, après, restau (classe hein, le restau, les médecins ça se tape pas un McDo en dîner pro, t'imagines bien). Et j'aime autant te dire que se taper la cloche aux frais de la princesse (et pas l'inverse, malheureusement), eh ben ça fait chaud à la France. Même si le côté serveur bien mis qui te sert le pinard au verre, te débarasse les miettes avec une pitite raclette, te donne du "s'il vous plait" et du "monsieur" à chaque plat, même si tout ça c'est vraiment pas mon truc et que le tarif par tête de pipe me paraît chéro, il n'empêche que ça m'a fait plèze de me taper gratos un bon gueuleton. J'ai eu le sentiment d'être un gros con de profiteur, et j'ai bizarrement trouvé ça presque agréable.
Et puis j'ai craqué pour des godasses, qu'elles sont bien, confort, avec du vrai cuir de vrai animal et tout, mais qu'elles sont chères, un prix que je trouve limite indécent.
T'es prêt à mettre combien pour des pompes, toi?
Woila, de toutes façons c'est fait, mais du coup, je me suis levé ce matin avec l'impression d'avoir peté plus haut que mon cul.
Dans ton Haïku, au fond à droite (ou un peu plus haut):
Un bruit coupe la nuit
Le dormeur est maussade
La journée sera longue
Je reviens, j'vais chercher ma rolex!
* Si tu retrouve ce que c'est (fait gaffe, c'est wok'n'wall), tu gagnes un disque de Cookie Dingler, ou de Guesh Patti. John Malko, t'as pas le droit de jouer, je sais que t'as déjà l'intégrale de Guesh Patti ;-)